Ingénieur en génie électrique et climatique, un métier qui se rajeunit et se féminise

Quel portrait dresser du métier d’ingénieur en génie électrique et climatique ? Dans une enquête consacrée au sujet, l’Association des ingénieurs et scientifiques de France et le Syndicat des entreprises de la transition énergétique et numérique (Serce, membre de la Fédération nationale des travaux publics) nous apprennent que la profession regroupe plus de 14.000 membres, dont 63,1% travaillent en province (28,8% sont basés en Île-de-France et 8,1% à l’étranger). À noter : les ingénieurs du génie climatique seraient d’ailleurs trois fois moins nombreux que ceux du génie électrique. Trois régions occupent le podium des zones les plus pourvoyeuses d’opportunités professionnelles, à savoir l’Auvergne-Rhône-Alpes (98%), l’Île-de-France (98%) et les Pays de la Loire (93%).

 

Quelques grandes tendances sont mises en lumière par l’étude, notamment le rajeunissement « sensible » et la féminisation des profils. Chez les ingénieurs du génie climatique,…

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