Au cours de la dernière décennie, l’envergure et le coût des projets d’ingénierie et de construction ainsi que le nombre d’organisations impliquées ont augmenté de façon exponentielle, donnant naissance à une nouvelle espèce appelée « mégaprojets ».
Les risques inhérents aux mégaprojets sont énormes. La plupart du temps, atténuer les « méga-risques » de ces projets nécessite d’autres méthodes d’exécution – comme les joint-ventures (JV) et les partenariats public-privé (PPP) – pour éviter qu’une seule organisation n’endosse seule les risques.
Alors, comment un mégaprojet peut tirer parti d’un modèle d’exécution alternatif ?
Hans Hoppe, Directeur risques de projet chez Parsons (l’une des plus grandes organisations d’ingénierie…